• La consultation :

    « Docteur, j’ai l’air triste! » ou « on me dit que j’ai l’air fatigué alors que je ne le suis pas ! », dit la patiente qui, joignant le geste à la parole, tire sur ses tempes et pratique un « lifting digital ».

    Ces phrases et ce geste annoncent clairement au médecin esthétique qu’un affaissement du visage commence à perturber la physionomie de sa patiente, même si sa demande est celle d’un comblement de ride ou de sillon par une injection volumatrice.


  • L’implantation :

    Le contexte médical (ou chirurgical) dans lequel sont implantés les fils est important, puisqu’il doit donner aux patients les meilleures garanties de sécurité, sans pour autant qu’elles soient aussi contraignantes que l’utilisation d’un bloc opératoire, qui ne se justifie nullement pour l’implantation de fils sous anesthésie locale.


  • LES SUITES DE L'INTERVENTION : La première semaine.

    Les fils s’implantent avec des aiguilles à pointe mousse, très peu agressives, donc peu traumatisantes pour les tissus. Il n’empêche que quelques troubles tout à fait normaux peuvent se voir après l’intervention.

    Des ecchymoses sont fréquentes, ainsi que des oedèmes chez les patients prédisposés et chez ceux qui ne se seraient pas reposés pendant la première journée. Un traitement préventif et un drainage lymphatique postopératoire les fera disparaître.
    Des douleurs, plutôt semblables à des tensions, sont ressenties parfois fortement durant les premiers jours.
    L’usage d’antalgiques et d’anti-inflammatoires est possible, mais certains patients n’en ont pas besoin.





    Un aspect tracté du visage, inquiétant pour certains patients sensibles, peut être visible quelques jours, surtout sur les peaux fines.
    En général, la patiente est visible après une semaine, même si c’est au prix d’un maquillage un peu plus chargé pendant quelques jours.

     




     

     

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